• Je ne pense pas être une mauvaise personne, juste une humaine. L'humanité, si je pouvais résumer ce mot. Ce simple mot, et pourtant qui semble si grand. L'humanité ça désigne un ensemble, un tout. Un englobement. Il est inévitable de dire qu'on en fait partit, le renier serait renier sa part d'Homme. Pourtant l'humanité nous joue des tours, elle est mystérieuse et je ne saurais jamais dire de quel côté va t'elle évoluer. En fait l'humanité regorge d'une diversité incroyable, qu'il serait impossible d'en faire la description par de simple mots. L'humanité. C'est fort, c'est poignant. Elle se revèle infidèle à elle-même, sans respect de ses anciennes moeurs et particulièrement egoïste ne pensant qu'à son propre bien. N'a t'elle pas raison? Le bonheur de soi doit se faire passer avant le bonheur d'autrui. Voilà une belle phrase d'égoïste. C'est un défault, mais à quoi bon essayer de renier les défauts? Nous en avons tous. Et l'égoïsme serait qualifiable chez la majorité des personnes. Tu penses que j'ai tord? Peut-être, parlons-en autours d'un verre alors.

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  • Une exclusivité que je fais partager, ne pas copier, ne pas partager. Distribuez le lien directement vers mon blog pour partage, de même pour l'image! Le dessin et le texte sont des créations venant à 100% de moi. Probablement inspiré d'une musique lors de l'écriture (date de un ou deux ans)

     

     

    Pierrot

     

    Pierrot, c'est ton surnom que tu porteras à jamais. Pierrot c'est toi, le nom des clowns. Tu n'as pas choisi cette carrière, c'est le métier qui t'as trouvé. A contre-coeur tu acceptas, tu n'avais seulement pas le choix...N'est-ce pas Pierrot? Né démon tu as été rejeté et banni, le cirque est devenu ta famille, ta seule maison. Mais à jamais tu devras porter ce masque de clown pour cacher tes yeux sanglants. Tu n’étais pas humain et avec tous les efforts que tu porteras bien, tu ne le seras jamais. Livré à ton cruel destin, tu désirais l’échappatoire. La vie de cirque te lassait, tu voulais la stabilité et tu rêvais d'amour, mais on t'a toujours dit que tu étais trop différent pour vivre ce sentiment. Cependant à présent Pierrot, tu le connais ce sentiment. Tu es tombé amoureux pour la première fois lors de ta seizième année.

     

    « - Alors...Tu te nommes Pierrot?, demanda t'elle avec son sourire angélique
    -En quelque sorte...
    -Tu ne veux vraiment pas me dire ton vrai nom?, supplia t'elle

    -Etaine...non...vraiment tu ne dois pas...Pierrot c'est mieux pour moi... Je dois te faire rien après-tout! »

     

    De ta manche tu sortis un bouquet de rose que tu donnas immédiatement à l'élue de ton coeur. Etaine rougit suite à ce cadeau, elle adorait plus-que-tout écoutait ta voix Pierrot et encore plus quand tu faisais des tours. Pierrot, tu pointas ensuite ton masque qui souriait éternellement puis tu t'approchas d'Etaine et tu lui susurras dans le creux de son oreille en ôtant légèrement le bas de ton masque.

     

    « -Si je commençais à te dévorer, comment réagiras-tu?

    -Peut-être que j'apprécierai...Ton visage doit être aussi magnifique que ta voix! Peux-tu l'ôter pour moi? »

     

    Tu reculas d'un bond furtif, tes avances plaisaient beaucoup à la demoiselle mais dévoilait ton visage c'était tout simplement impossible. Pierrot, tu es un démon...personne ne peut t'aimer sauf ton reflet, c'est pour cela que tu as été trahis par ta propre mère. Tu dois absolument garder secret tes oreilles pointues et tes yeux rouges. Tu regardais le sol pensif puis tu pris dans tes immenses mains les fines épaules de la demoiselle.

     

    « -Etaine...mon visage est secret...Si je le montre...je ne serai plus un Pierrot »

     

    Si tu n'es plus un Pierrot tu n'es plus rien.

     

    « -Pierrot...Ne verrai-je jamais ta frimousse? Même si tu n'es pas comme je le pense je t'aimerai toujours tu sais! », demanda t'elle curieuse

     

    Si tu dévoiles ton visage, elle te fuira Pierrot!

     

    « -Je te le montrerai...avant que je parte de la ville!

    -D'accord! »

     

    Le temps s'écoula, le temps de plusieurs représentations. Pierrot, tu te donnais toujours autant de mal à jongler avec les quilles puis à faire le clown devant le publique. Tu en avais marre de faire rire, tu voulais juste vivre une vie normale. Derrière ton masque, ton sourire se fissurait jusqu'au jour où le directeur te prit en train de nourrir le dernier lionceau. Tu avais de la peine pour lui alors tu lui donnas un steak mais pris la main dans le sac tu te vis frapper et traiter de monstre par le moustachu. Tu étais un monstre...un monstre n'engendre que le mal. Enervé et d'une soudaine pulsion de colère tu griffas violemment ton supérieur. Le voyant agoniser dans un bain de sang tu décidas de fuir.

     

    Ne sachant plus où aller tu décidas de te réfugier sous cette arbre ou tu avais rencontré ce magnifique ange : Etaine. Tu t'assoupis et essaya de te calmer mais tu continua à pleurer encore et encore. Tu repensas à ta mère qui te regardait avec dégoût, ton père que tu avais tué en l'étranglant. Tu ne contrôlais pas ta force et tu la contrôlais toujours pas. Derrière ton sourire figé, tu pleurais ta tristesse enfouie depuis longtemps. Broyant du noir tu commenças à apercevoir cependant la lumière...elle était là...

     

    « -Pierrot...j'ai entendu des cris venant du cirque...j'ai pensé à toi..alors je suis venu ici...

    -Etaine...J'ai eu un problème avec mon directeur... »

     

    Tu pleurais encore...

     

    « -Pierrot...ce n'est rien!

    -Etaine! Tu ne comprends pas! J'ai vraiment fais quelque chose de mal! Toute ma vie s'est résumé à ça : le mal...C'est pour ça que je me suis retrouvé avec ce masque...J'ai blessé le directeur! »

     

    Un silence pesant...Je crois que ton coeur palpitait et frôlait la crise cardiaque, tu te dévoilais ainsi devant ta princesse Etaine. Tu regardais de façon admirative ses beaux yeux bleu pur et innoncent. Tu l'aimais, tu l'avais vu le premier jour. Elle était venue te parler, et elle avait adoré ta voix. Charmé juste par un son, vous avez commencé à vous voir régulièrement et toi tu es tombé bêtement amoureux alors que tu n'avais pas le droit! Pierrot quel genre de sentence te réserve le destin?

     

    « -Pierrot...Je t'apprécie...alors pour moi c'est rien! Tu n'as qu'à vivre chez moi! Ma mère est malade et je me sens bien seule à devoir m'occuper d'elle! Et puis...tu n'as jamais été un Pierrot...n'est-ce pas? Un Pierrot ne pleure pas après tout! », elle disait ça avec un sourire tout en s'avançant vers toi

     

    Tu levais la tête vers elle et tu la laissais lever ton masque. Instant magique elle te donna ton premier baiser, tu appréciais ses mots doux et réconfortant alors tes larmes se stoppèrent. Tu sentais ses lèvres contre les tiennes et ton masque tombait sur l'herbe fraîche, mais tu redoutais encore ce moment quand elle verra tes oreilles et tes yeux... Le baiser finit, elle recula, le lampadaire éclairait ton visage démoniaque et ta lueur dans tes yeux reflétaient ton liquide sanguin. Tu observas longuement Etaine, tu la voyais surprise et bouche-bée. Elle allait t'aimer en retour, elle t'appréciait alors...alors pourquoi pas.

    Quelques secondes plus tard tu esquissas un faible sourire avec tes larmes sur tes joues...Tu souriais comme si l’évidence même était là. Un monstre pouvait-il vraiment être aimait alors?... Les yeux bien ouvert, tu observais sa chevelure ondulait dans le vent, sa voix se font dans le souffle du soir et les lumières illuminaient sa peau laiteuse

     

     

    ...Elle était partie en courant au loin

    sous la lumière des étoiles

    un cri aigu qui te poignardait le coeur...

     

    Etaine ton premier amour.

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  • [Il y a des jours où je me dis que j'aurais dû naître dans un autre pays et dans une autre époque. J'ai parfois l'impression de ne pas rentrer dans les moeurs de nos jours d'être sans cesse en décalage avec les autres. Il m'arrive d'avoir des crises, de passer des larmes à un fou rire en quelques secondes. Je me trouve étrange, non c'est moi et je m'aime comme je suis. Je me confronte parfois à la personne qui me connait depuis toute petite, elle a toujours était là...ou presque... Tu changes trop et moi je n'évolue pas...je stagne... Je n'arrive pas à rentrer dans ce stupide moule à gâteau où tout le monde est heureux. Décalage, encore et toujours. Je ne sais pas si c'est moi qui cloche où c'est la décadance de la nature humaine sombrant de plus en plus dans une folie imminente. Lis-moi jusqu'à la fin et tu comprendras mes sentiments...Connais-tu ce sentiment de ne pas être à ta place? Il faut l'avouer nous vivons dans un monde brute, à moi d'aller de l'avant et d'évoluer, de changer. Si seulement j'avais la force et la foie. Alors regardant le visage du monde comme dans un mauvais téléfilm j'essaie de rassembler mes forces pour me forger à nouveau et être heureuse...comme tout le monde... ]

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  • (ceci est une fiction crée par l'imagination, je préviens aussi que la fin est dramatique et je n'ai pas encore fait de relecture ^^)


    3 minutes, qu'est ce que c'est? Que pouvons-nous faire en seulement 180 secondes? Un jour on m'a dit que je n'étais pas capable d'aller en moins de 3 minutes à l'école. Je l'ai fait en 2 minutes 32, j'avais courru par rapport à mon habituel 6 minutes. En 3 minutes je peux aussi manger un plat entier. que pouvons-nous faire d'autres en seulement trois minutes? Ne serait-ce le fait de penser, en trois minutes...on a le temps de penser à quoi d'habitude? A notre amoureux, le voisin bruyant ou bien ce monsieur qui galère devant toi. Dans notre vie, nous pouvons rien faire en seulement 3 minutes à part prier un miracle. Je pensais à ces choses, à ces trois minutes, à ce que je pouvais faire quand mes yeux se sont ouvert sur le monde réel.

    L'adrénaline est à son combre, avec fluidité j'enlève ma ceinture. Je ressens des viibrations puis une soudaine secousse qui me secoua bien la tête. Je vois ma mère à côté lançant un énième cris. Que se passait-il? je n'arrivais pas à réfléchir. Je vis soudainement apparaître les masques à oxygène. Bienveillant dans l'âme je le lançais à ma mère qui allait éclater dans les larmes. D'un bond je me lève, je sais que notre temps est compté. Le temps c'est précieux, combien de temps nous restent-ils? Combien de temps dans ces turbulances affreuses. Je jette un rapide regard vers le hublot, c'est un désastre! Je ne vois plus rien à part un hamas de particules noirs et grises. Et si je vivais la fin de ma vie. La peur doit se lire dans mes yeux, mon coeur a envie d'exploser mais j'avance d'un pas, me tenant fermement aux sièges près de moi. Soudainement, une nouvelle secousse, un nouveau cri, un enfant qui gémit, et un gars en sang. Une des fenêtres vient d'exploser, je le vois. De nombreux verres sont plantés sur la tête de ce type. J'aurai eu de la peine pour lui mais je n'en ai pas actuellement. Mon coeur bat tellement vite, ma respiration est sacadée. Pourquoi suis-je debout déjà? Pourquoi je fais ça? Devrais-je vraiment faire ça. Les pleurs de l'enfant me font savoir qu'il faut vite agir, vite, vite...Aurais-je le temps? Combien de secondes déjà? Combien de temps? Est-ce qu'on a le temps de vivre?

    Je me dépêche, j'avance, j'avance. j''ai l'impression d'être un escargot, d'être au ralentit par rapport à la vitesse des bruits, des sons, de tout ce qui m'entoure. J'aurais aimé un bouton pause mais l'adrénaline m'aide à rester moi et dans mon état d'âme. Je m'approche de la salle du conducteur, j'essaye d'ouvrir la porte mais celle-ci à cause de la force du vent s'écrasa contre la paroie métallique. Ma main a failli y passer par chance je l''avais vu, je voyais tout je comprenais à présent tout. Mon coeur bat vite, il bat trop vite...j'ai peur...j'ai peur..que dois-je faire?

    Une des hotesses est à terre tremblante. Le pilote est à son siège mort. Je cherchais un éventuel co-pilote, une âme qui vit. Mais que s'était-il passé? Pourquoi sommes dans ce pétrin! Le vent est plus que fort. Je me sens comme happé à l'intérieur de l'avion. Je lutte contre la force de la nature...Je lutte pour vivre, je me battrais jusqu'au bout...

    Je m'approche du tableau de bord et je vois cette multitude de boutons. Ca ressemblait à ceux des hélicoptères. J'entendais des voix brouillées venant d'une radio et je criais à l'aide. Je rejetais de mes poumons tout l'air que j'avais, je criais le plus fort possible. Je voulais vivre, je voulais vivre...Je n'avais plus d'air, plus rien, plus de souffle quand la voix de la radio évoqua un compartiment à ma droite. Avait-il compris la situation? La situation dans laquelle nous sommes? Je suis un passager ayant déjà eu un stage pour conduire les hélicoptères, rien de plus...J'ai peur...j'entend les cris de maman, elle s'affole, elle appelle à l'aide...Je l'entend prier Dieu, je l'entend l'appeller...Elle si peu croyante dans la vie normale...Dans ces situations délicates on espère juste un miracle car nous sommes impuissants...

    Je manque d'oxygène...vite les masques...Ou est-il? Vite...je vais mourrir...je veux respirer! Je m'approche du conducteur mort. Je prend son masque et prend la plus grande respiration de ma vie. C'est un peu comme si j'allais mettre ma tête sous l'eau. J'entend les voix de la radio, elles essayent de me rassurer, me donne des instructions...J'ai envie de mourrir...J'ai envie de mettre fin à ce calvaire...vite...vite...Combien de temps déjà? Combien de temps nous reste t'il?

    Je jette un regard derrière la grande vitre...C'est un désastre! Je ne comprend rien, la vitre a réçu de nombreux coups. Que s'est-il passé? pourquoi? Pourquoi?! D'une main rapide j'enlève ce foutu masque de mon visage, je m'aggripe aux premières choses sous ma main, l'épaule du pilote. J'angoisse...j'angoisse...Une nouvelle secousse, plus forte, plus intense. J'entend plus rien, je voix plus rien...suis-je mort?

    Je suis à terre, la secousse m'a cogné la tête...Je vois du sang mais je ne sens pas la douleur. C'est étrange...est-ce l'adréaline qui produit cet effet? Les voix de la radio sont coupé à chaque phrase. C'est la fin...on va mourrir...Pourquoi j'ai fait ce voyage? Ce stupide voyage qui va me conduire à la mort! Je pense, je pense un bref instant. Nous sommes dans un avion, un petit avion. Et j'entend des voix de la radio le mot "parachute d'urgence". Peut-on vivre encore quelques secondes de plus grâce à ces objets?

    Je me lève difficilement, je ressens une douleur à mon crâne et je voix du sang sur le sol gris. Mon sang...mon sang...Je vais mourrir...je vais mourrir...j'ai peur...j'angoisse...mais je veux vivre...D'un bond je me jette vers le compartiment à ma droite. Je l'ouvre d'un geste brusque...Vite vite...ou sont-ils? Je veux vivre...je veux vivre...

    Deux parachutes seulement...La misère...Nous sommes combien? Quatre passagers plus deux pilotes normalement, mais je comprend rien à la situation. J'en enfile un sur mon dos, ne pensant qu'à ma propre survie puis me dirigea vers les autres passagers sans trop de mal.

    Je regarde l'homme qui semble mort, l'enfant qui pleur et ma mère qui chiale et qui crie...Dois-je faire un choix? Un choix?! Choisir qui va vivre?! Excusez-moi mais je ne peux choisir...c'est impossible! Je regardai l'enfant..lui le premier...Je détache sa ceinture "Tu sautes ou tu crèves ici petit!", il comprit desuite et ne dis rien ravalant ses sanglots. Je lui met le sac sur le dos l'attache. Je n'ai pas envie qu'il saute seul alors je vais voir ma mère et lui donne le seconde "Il y en a un troisième dans la cabine maman, on va vivre!". Je mens...Je veux qu'elle soit rassurée...Je veux qu'elle esquisse un dernier sourire pour moi...Les larmes et les sanglots defigurant son visage elle essaya de sourire et me répondit "Je t'attendrais en bas...on va vivre!". J'ai envie de pleurer...Maman je t'aime...Pourquoi je t'ai ambarqué dans ce voyage à la con?! Pourquoi?!

    Je cherche le bouton d'urgence pour ouvrir les portes pour sauter. Ils allaient faire le grand vol, un énorme plongeon pour vivre. Je poussai l'enfant un premier en prenant le soin d'activer son parachute en premier. Au moins il ne l'oubliera pas et volera jusqu'à la terre. Puis c'était à ma mère...ma tendre mère...Une nouvelle secousse...Je prend sa main puis j'éclatai en larmes...enfin...je crois qu'elle comprend mais je la poussais dans l'air, non Maman ne pose pas de question...vis!

    Elle plongea dans le vide et je la regardais activer le parachute de loin. Refermant les portes, je m'écroulais sur le sol...J'allais mourir ici pitoyable lors d'un crash d'avion....J'aurai au moins voulu ne pas être seul. Il n'y avait que des gens déjà mort qui m'entouraient...J'ai mal au coeur...j'ai mal...j'ai mal à la tête...je veux mourrir, mettre fin à ce calvaire...Dieu..si tu m'entends....dis-moi...dis-moi pourquoi je dois mourir ici? J'étais secouée dans tous les sens...la fin est proche...si proche...trop proche...

    Je deviens sourd, je deviens aveugle...Je ne comprend plus rien...je n'ai même pas mal, même plus mal...rien du tout...j'ai juste un énorme pincement au coeur...j'ai l'impression qu'il va exploser tout comme l'avion...Fermant les yeux...je pensais à ces trois minutes...à ce court laps de temps où j'ai pu sauvé deux vies...deux précieuses vies...

    Je ressens une pression de plus en plus forte, une vitesse qui augmente...la terre doit se rapproche...je vais mourrir...ici...seul...seul...seul...Je pense à l'enfant, à ma mère....et dans mon dernier soupire...je souriais...J'allais enfin mourrir...mettre fin à ce calvaire...

    Enfin..

    enfin...

    Le soleil m'aveugla.

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  • Aujourd'hui je suis lycéenne...

    Aujourd'hui je suis étudiante,

    Hier j'étais jeune et conne,

    Demain je serai ...

    Je serai : verbe être conjugué au FUTUR à la première personne du singulier. Le futur, un temps inconnu. Le futur, le monde qui arrive juste après cette seconde. Hier était le passé, Aujourd'hui le présent vient maintenant le Futur. C'est un inconnu incertain. Les dernières générations, la jeunesse, les enfants, les nouveaux-nées...Nous représentons le futur!

    Ne bousillez pas la jeunesse...car demain..

    Demain nous serons l'avenir

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